Les coureurs du Tour ont déjà expérimenté la sensation de rouler sur la mer en 2015 pour l’arrivée en Zélande.
Cette fois-ci, la traversée du Grand Belt s’étend sur 18 kilomètres, avec une forte probabilité de batailler au milieu des rafales. Les formations les plus aptes à manœuvrer en terrain venté auront un coup tactique à jouer.
Les favoris qui manqueraient de vigilance auront déjà des regrets à l’arrivée.
Les coureurs du Tour ont déjà expérimenté la sensation de rouler sur la mer en 2015 pour l’arrivée en Zélande.
Cette fois-ci, la traversée du Grand Belt s’étend sur 18 kilomètres, avec une forte probabilité de batailler au milieu des rafales. Les formations les plus aptes à manœuvrer en terrain venté auront un coup tactique à jouer.
Les favoris qui manqueraient de vigilance auront déjà des regrets à l’arrivée.